L’ÈPOQUE CANDIDE

A l’époque pubertaire, baignant dans l’innocence,
Ma prégnance des femmes, Au sortir de l’enfance,
N’était que prévenances, noyée dans l’attirance,
Rejetant par avance, toute concupiscence.

Alors que je rêvais, Françoise, Françoise,
Pour plaire à un coquin en passant sous sa toise,
Laissa qu’il l’apprivoise, que ses jambes se décroisent,
En devenant grivoise, pour que le coq pavoise.

Vers la gent féminine, je n’avais point d’outrances,
En gardant des distances, pour ne point faire offense,
Montrant mon élégance, pour leur faire allégeance,
Admirant plus que tout, ces êtres de faïence.

Durant l’époque candide, Josette, Josette,
Dévoilait son trousseau, sous sa mini jupette,
Pour un godelureau, voulant conter fleurette,
Effeuillant ses atours, en guise de pâquerette.

J’aimais avec réserve, en toute circonstance,
Mais Avec le beau sexe, j’abhorrais la licence,
Comblant l’adolescence, en recherche de substance,
En admirant Vénus, le cœur plein d’espérance.

Pendant que je courtisais, Simone, Simone,
Au prélude des sens, découvre ses hormones,
Ouvrant sa cheminée, au fripon qui ramone,
Se donnait au plaisir, en lui faisant l’aumône.

Un regard échangé, dans un moment intense,
D’une jeune fille en fleurs, était ma récompense,
Protégeant l’innocence, par la magnificence,
C’est ainsi que d’amour, je gagnais ma pitance.

Quand je contais fleurette, Denise, Denise,
Pour grimper aux rideaux, de volupté se grise,
Et par un joli cœur, elle fut vite conquise,
Déroulant une spirale, d’exquise paillardise.

Cherchant ma Dulcinée, en inspirant confiance,
Les chemins du plaisir, dans mon inexpérience,
Passaient par la patience et la persévérance,
Pour obtenir en fin, une certaine bienveillance.

Lorsque je faisais du plat, Carmen, Carmen,
Couvant les feux de l’amour, courrait la prétentaine,
Au détour de la chair et des zones érogènes,
Un filou d’hidalgo, lui vola son Hymen.

D’une belle romantique, vaincre les réticences,
Dans des travaux d’approche, sans aucune insolence,
Etait le but intense, de ma courte existence,
Pour de doux sentiments, assumer l’émergence.

Tandis que je flirtais, Carole, Carole,
Découvrait la luxure, sans aucun protocole,
Sous les assauts d’un lion, passait à la casserole,
Sans aucune précaution, contre la petite vérole.

Tant va la cruche à l’eau, à force d’abstinence,
Lorsque de la jouissance, je subis l’exigence,
Réclamais de ma douce, une autre convergence,
Recherchant le plaisir, avec outrecuidance.

D’une fleur d’aubépine, j’essuyais conséquence,
Et me suis fait gifler sans aucune indulgence.
 

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