Comme
j'avais beaucoup vécu,
Que je croyais avoir tout vu !
Je pensais que les
sentiments,
Ne sont que des errements.
Je
m'étais dit c'est bien fini,
Plus jamais je ne serais pris,
Mon coeur
est bien protégé
Et rien ne peut L'assiéger.
Je
ne savais pas encore,
Qu'un ange blond aux yeux bleus,
Bouleversant mon
décor,
Me rendrait à nouveau heureux
Elle
est à peine une femme,
Mais elle a réveillé ma flamme.
Dans l'aube de
ses dix huit ans,
Elle accapare mes sentiments.
Avec
elle point ne fornique,
Dans une idylle trés platonique.
Nous marchons
la main dans la main,
Dans la brume du matin.
Et
je me laisse bercer,
Par ce courant de bonheur,
Pour toi qui as su percer,
Tous
les secrets de mon coeur.
Sans
soucis du lendemain,
Avec toi je veux être bien.
Toujours porté par le
courant,
Sans chercher à comprendre.
Toujours
porté par le courant,
Sans chercher à comprendre.
Toujours
porté par le courant,
Sans chercher à comprendre.
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