Quand le pouvoir enivre !
Quand le pouvoir enivre,
Celui qui le découvre,
Quand la carrière à suivre,
Oblige à en découdre.
Un despote s ‘éveille,
Dans un lit de certitudes,
Pensant que ceux malveillent,
Qui doutent de sa rectitude !
Et pendant ce temps,
Les pauvres subalternes,
Subissent ce vent,
Qui souffle un air terne !
Aveuglé dans ses choix,
Par un grand manichéisme,
N’écoutant que la voix,
Des sirènes de l’arrivisme.
Affirme ses raisons,
Qui sont toujours les meilleures,
Ressentant comme un poison,
Celles des autres sans valeur.
Et pendant ce temps,
Les subordonnés se prosternent,
Devant ce tyran,
Qui les guide de sa lanterne !
Subissant sa rhétorique,
Qui recherche la perfection,
Des pratiques ésotériques,
Qui sacralisent la fonction !
Repoussant la disparité,
Sur quoi se fondent les opinions,
N’affirme que l’autorité,
Qui conforte l’inhibition !
Et pendant ce temps,
Les initiatives sont en berne,
L’autonomie est en plan,
Les idées fuient par la poterne.
Coda : Les idées fuient par la poterne.
Les idées fuient par la poter…er…ne.
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